Alain Duménil : le magnat de la finance et du luxe

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Alain Duménil n’est pas un homme qui aime être un milliardaire en plein air. Il est très conservateur. L’homme d’affaires français qui vit en Suisse et a une grandes fortunes en France. Sa fortune est d’environ 1 milliard d’euros. Alain Duménil est un entrepreneur avec une assez bonne réputation. Il ne fait pas partie de ces industriels qui n’ont ni foi ni loi habitués aux Bad beats.

En affaires, la meilleure qualité est d’acheter et de vendre des petites entreprises en faillite quelques années plus tard à des prix élevés. Il le fait dans les règles et sans se faire d’ennemis. Ces technologies sont pratiquées depuis longtemps dans les banques et les entreprises, mais aujourd’hui le milliardaire veut aussi les reproduire avec luxe.

L’étonnante carrière d’ Alain Duménil

La carrière d’ Alain Duménil dans le monde industriel n’a pas commencé. Tout a commencé en 1975 alors qu’encore jeune et à peine diplômé d’HEC, Alain Duménil a repris le courtage bancaire de son père, qui venait de mûrir d’une mort subite. Immédiatement après avoir pris le pouvoir au sein de l’entreprise, le jeune Alain Duménil n’a pas tardé à la transformer en banque. Plus tard.

Les marchés financiers à l’époque ressemblaient au Far West et il ne restait plus qu’à avoir de bonnes idées pour faire une fortune.

Avec cela, le jeune Alain Duménil ne cherche pas à construire un empire. En 1987, il soumet sa bourse à la banque, et peu de temps après, il revend ses actions en faveur de l’italien Carlo Benedetti. Dans les années 1990, Alain Duménil entre sur le marché immobilier et établit un solide portefeuille de bureaux et de logements.

Au cours de la première décennie du XXIe siècle, son héritage a triplé. Après cela, il se donne un nouvel objectif et commence à faire des folies. Après s’être associé au groupe de créateurs Alliance, il rachète des marques telles que Jean Louis Scherrer, Francesco Smalto et Stéphane Kélian. En fait, son idée était de construire un kit intermédiaire qui ne cible que les 40 et 50 ans délaissés par les groupes de design français.

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