La carrière réussie d’Alain Dumenil a commencé lorsqu’il a quitté HEC en 1975. Depuis, il a dirigé la société de courtage appartenant à son père.
La remarquable carrière d’Alain Dumenil débute lorsqu’il hérite de la banque Duménil-Leblé. En 1985, il a fait appel aux services d’un expert financier, Jacques Letteriter, car cette dynamique augmente le volume des ventes de la banque. Les nombreux succès de Duménil-Leblé conduisent à son introduction en bourse. Mais il vendrait ses actions à Cerus Holding avant sa fermeture en 1988.
Soulignant que les marchés fiscaux à l’époque étaient comme le vieil ouest et que tout ce que vous avez à faire est d’avoir un bon plan pour gagner de la richesse. Cependant, Alain Dumenil n’a pas cherché à construire un empire. En 1987, il introduit sa bourse auprès de la banque puis vend rapidement des actions au profit de l’italien Carlo Benedetti. Dans les années 1990, Alain Dumenil a investi dans le secteur immobilier et créer un solide portefeuille de bureaux et de résidences.
Le secteur de luxe
Durant la première décennie du 21e siècle, son héritage a triplé. Puis il s’est focalisé sur un nouvel objectif, le «luxe». Après avoir travaillé avec l’équipe de conception de l’Alliance, il a acheté des marques telles que Jean Louis Scherrer, Francesco Smalto et Stéphane Kélian.
En fait, son idée est de créer un kit intermédiaire qui ne cible que les 40 et 50 ans que la communauté française du design ignore.
A noter qu’Alan Domenell possède une maison d’édition et a publié plusieurs livres. Il possède également la rue Blanche à Paris. Contrairement à d’autres passionnés d’art nouveau, Alain Dumenil est très attentif et ne cherche jamais à faire les gros titres dans le soi-disant scandale.