Posséder une boite est devenu une habitude pour chaque habitant de la population française. Même si aucune loi n’oblige à en posséder, il est très rare de voir un français sans boites aux lettres. Cette dernière est sous la responsabilité de la Poste qui a d’ailleurs initié des clés passe partout qui permettent aux facteurs de veiller à la livraison de vos courriels. Dans cet article, nous vous faisons découvrir les deux versions les plus célèbres du pass Ptt.
Le pass T10 poste
Le service pass Ptt proposé par la poste est composé d’un ensemble de 21 clés, mais les T10 et les F10 sont les plus connus. En effet, ces deux clés sont à elles seules capables d’ouvrir n’importe quelle serrure disposant d’un système Ptt. Néanmoins, chacune d’entre elles est dotée d’une compétence personnelle. Si voulez une clé universelle de boites aux lettres, alors c’est le pass T10 que vous devez choisir. En effet, elle est plus spécialisée dans l’ouverture des boites à usage individuelles que ce soit dans les pavillons que dans les maisons. D’ailleurs, c’est la plus utilisée des clés passe-partout. Elle est non seulement capable d’ouvrir les boites aux lettres individuelles normalisés PTT, mais aussi les cages d’escaliers et les halls des immeubles. Notons que pour ouvrir les escaliers, il faut que ceux-ci ne soient pas dotés d’un vigik.
Le Pass F10
A la différence de la précédente clé, celle-ci est plus connue pour son efficacité face aux batteries des boites aux lettres équipées du système de PTT. C’est la clé adéquate pour ouvrir les résidences ainsi que les habitations collectives. Même si elle n’est pas capable d’ouvrir toutes les serrures, on peut bien lui reconnaitre sa grande capacité à donner accès à plusieurs endroits qui sont reconnus pour le pass T10 comme par exemple les halls. L’avantage de son utilisation est qu’il permet à son utilisateur d’accéder aux batteries, lorsque l’un de ses colis est coincé dans la boite aux lettres.
Les clés pass Ptt F10 et T10 se révèlent donc être les meilleures sur le marché. Mais, il faut reconnaitre que chacune d’entre elles a sa spécificité.