Né à Beyrouth dans une famille d’origine musulmane le 30 août 1982, Kevin Rivaton est marié et père de deux enfants et pratique sa passion pour le tourisme en tant que consultant en ingénierie touristique et culturelle à Paris. En particulier, il défend l’idée d’un tourisme de niche qui vise à préserver la nature et à protéger les lieux touristiques de la dégradation.
Enfance à Beyrouth puis à Vincennes
Kevin fils de Jack (chef de chantier) et Miriam (standardiste dans une agence de tourisme). Kevin a fait ses études primaires à Beyrouth avant de fréquenter le Collège Notre Dame de la Providence à Vincennes pour terminer ses études secondaires. Lorsqu’elle rentre à la maison pour la soirée, sa mère lui raconte ses missions. C’est pourquoi il découvre dès son plus jeune âge une passion pour le tourisme et la promotion de sites commerciaux et culturels.
Il est diplômé de l’École de Tourisme de Toulouse
Pour ses études de premier cycle, Kevin Rivaton a participé aux concours Accès et Sésame et a commencé des études d’économie à la Business School de Toulouse. Il y obtient un BA en économie et gestion, puis décide de poursuivre une maîtrise en sciences internationales pour le tourisme, le marketing et la gestion dans la même école. Cette décision lui a permis d’acquérir les connaissances nécessaires pour poursuivre une carrière dans le secteur qui le fascine depuis de nombreuses années. Peu de temps avant d’obtenir son diplôme, il a participé à un échange scolaire qui lui a permis de voyager en Amérique du Sud. Il voyage donc avec ses meilleurs amis le Pérou, la Colombie et le Venezuela.
Intérêt pour le partenariat Euromed
Le principal objectif du partenariat euro-méditerranéen est de faciliter les relations entre les Etats membres afin de promouvoir le développement des pays riverains de la Méditerranée. Pour Kevin Rivaton, ce projet aurait grandement amélioré l’offre touristique entre les différents pays et stimulé la croissance de ce secteur dans des pays comme l’Algérie, le Liban et la Tunisie. Malheureusement, un véritable rapprochement politique et économique reste à signer, le projet n’a donc pas vraiment porté ses fruits.